de tout ce temps que sera ma vie.
De tous ces gens qui m'indiffèrent,
maintenant que tu es partie.
Toutes ces nuits, pourquoi pour qui,
et ces matins qui reviennent pour rien.
Ce cœur qui bat, pour qui, pourquoi,
qui bat trop fort, trop fort.
Et maintenant que vais-je faire,
vers quel néant glissera ma vie.Tu m'as laissé la terre entière,
mais la terre sans toi c'est petite.
Vous, mes amis, soyez gentils,
vous savez bien que l'on n'y peut rien.
Même Paris crève d'ennui,
toutes ses rues me tuent.
Et maintenant que vais-je faire,
je vais en rire pour ne plus pleurer.
Je vais brûler des nuits entières,
au matin je te haïrai.
Et puis un soir dans mon miroir,
je verrai bien la fin du chemin.
Pas une fleur et pas de pleurs,
au moment de l'adieu.
Je n'ai vraiment plus rien à faire,
Gilbert Bécaud, BMG.
*Acabo la verbena en inmejorable compañía, con el estómago lleno y el ánimo achispado. En estos momentos, todo mueve a la confidencia: el lejano día que yo falte -me queda cuerda para rato-, quiero que, en mi despedida -laica, por favor- suene Et maintenant, la perla de Gilbert Bécaud que mi querido Alfonso Vilallonga dedicó a su tío José Luis en tales circunstancias. Cuestión de charme, sin duda alguna.
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