Ô, la belle vie.
Sans amour,
sans soucis,
sans problème.
Hum, la belle vie.
On est seul,
on est libre
et l'on s'aime.
On s'amuse à passer avec tous ses copains
des nuits blanches
qui se penchent
sur les petits matins.
Mais la belle vie,
sans amour,
sans soucis,
sans problème.
Oui, la belle vie,
on s'enlace,
on est triste,
et l'on traîne.
Alors pense que moi je t'aime
et quand tu auras compris,
réveille-toi.
Je serai là
pour toi.
Sacha Distel, Polydor.
*Principio 2011 como acabé 2010: lejos de mi mejor momento. Agotado el recurso de cagarme en el Universo, aprovecharé que algún hermano de sentimiento ha colgado parte de la discografía de mi Sacha en Spotify para echarme en los infalibles brazos de La belle vie, crónica de la apacible existencia a la que aspiro y que, terca, tarda en asentarse.
Con ella les dejo.
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